Si vous n'étiez pas parmi les 130 entrepreneurs à la soirée du 30 mars organisée avec brio par le trio Cécile, Laurent et Richard du Cercle des Jeunes Entrepreneurs (CJE), c'est bien dommage.
Mais comme je vous aime bien, et que votre éclaireur du numérique était présent, je vais vous faire remonter dans le temps en vous retraçant les moments forts et quelques autres :-) Par contre je ne pourrai pas vous faire rattraper toutes les opportunités de rencontres inter professionnels potentiellement disponibles dans cette soirée conviviale. Encore que vous pouvez limiter la perte en devenant membre du club et où vous pourrez retrouver et croiser plus de 1500 entrepreneurs à Paris, Lyon, Aix et Marseille.
Si vous étiez, comme moi, arrivé vers 19H30, vous auriez commencé par faire la queue 10 minutes pour entrer, normal c'est la rançon du succès. Et puis attendre dans un jardin fleurit en discutant ce n'est pas désagréable. Ensuite après le checkpoint efficace à l'entrée et le vestiaire super bien organisé, j'ai même pas perdu mon vêtement :-) vous vous seriez retrouvé dans les super locaux de l'entreprises Regus, 72 rue du faubourg Saint Honoré à Paris. Je vous entends déjà me dire mais pourquoi parler de l'adresse ? Et bien pour éviter de vous perdre à Paris comme ailleurs car il y a de nombreuses adresses et même que le directeur nous a annoncé que la famille Regus en propose plus de 1000 dans le monde. Pour ma part je n'ai pas eu de soucis pour venir depuis mon cabinet coté Bastille, en laissant mon HTC Android et son copain Google Map GPS me mener avec sécurité.
Cerise sur la gâteau celle de la soirée se situait à quelques encablures, j'aime bien utilisé les termes marins à Paris parce qu'il y a aussi de l'eau mais verticale :-) Bon trève de plaisanterie, revenons à nos moutons, la soirée se déroulait non loin de la maison où travaille notre président de la république . C'est pas chic !! .
Si vous étiez passé par là ou informé par mes tweets, vous auriez aussi apprécié la convivialité du bar où vous auriez bu avec modération, juste avant de vous préparer pour le concours de Pitch d'entreprises. En 1 minute, cela ne rigole pas mais vous trouverez rien de plus efficace pour capter l'attention. En faite si cela riait beaucoup car vous auriez découvert que l'on peut présenter efficacement des entreprises sérieuses avec originalité, humour et même magie.
Si vous étiez venu, vous auriez aussi disposé de 3 heures pour discuter avec plus de 100 entrepreneurs autour d'un buffet. vous auriez disposé d'un espace pour vous faire interviewer par la radio Widoobiz, filmé par une entreprise dont j'ai oublié de demander le nom, (je corrigerai plus tard) et rencontrer des journalistes d'Entrepreneur grand angle le blog de l'Express sur l'entrepreneuriat, avec aussi ceux du magazine gratuit Dynamique entrepreneurial, les magazines Chef d'entreprise, Actu Entreprendre et le blog construire notre futur.
Bien !! maintenant vous allez venir. Depuis que je vous est un peu plus raconté ce que vous avez manqué, j'espère que je vous ai donné un peu envie d'être parmi nous lors de la prochaine soirée ? Et bien vous le pouvez, cela dépend que de vous. Il suffit qu'après le bureau et avant de rentrer chez vous, vous passiez du mode réseau virtuel au réal life. Réservez maintenant votre agenda pour le 26 avril D'ici La vous me retrouverez dans Paris.
Comme je suis loin d'avoir parlé avec tout le monde, ni noté tous les volontaires au pitch, si les présents à la soirée, veulent poster un petit commentaire avec un lien vers leurs entreprises, votre éclaireur du numérique en sera très honoré et flatté.
A j'oubliais si vous voulez suivre la time line du CJE, c'est par là sur Twitter
Le numérique au service de l'humain. L'humain créateur du numérique. Tout un nouveau monde de "Possibles" observé, critiqué, testé et discuté avec un éveilleur du web.
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jeudi 31 mars 2011
La communauté Chronium et 87 logiciels font fonctionner Google chrome
Savez vous que Google fonctionne grâce à la communauté du projet Open source Chromium et les équipes auteurs de 87 autres logiciels libres. (voir la liste). En faite un projet international en mode collaboratif et coworking. Les connaissez vous ?
Travailler ensemble. En observant la méthode de co-construction du logiciel, on comprend mieux pourquoi ce navigateur est devenu aussi performant en aussi de peu de temps. Mozilla Firefox, le navigateur leader open source qui a fait partie des premiers à utiliser cette méthode de co-développement vient de publier sa nouvelle version 4.
Ensemble on est plus fort. Les humains de tout pays découvrent (ou redécouvrent) qu'ensemble on est plus fort avec encore plus d'efficacité pour ceux qui activent la puissance des outils numériques. Que se soit dans le monde de l'industrie, de l'économie, de l'intelligence, des arts... ou pour résoudre les problèmes du 3ème millénaire mais aussi pour limiter les impacts des catastrophes comme celle du Japon, l'homme n'a rien inventé de mieux que de s'organiser en cercle d'intelligence et d'actions collectives tout en mutualisant ses forces pour réussir là où seul il ne peut plus rien. Au lieu d'entrer dans une phase de défaitisme croissant, certains humains réorganisent les intelligences et les forces des humains disponibles dans un nouvel état esprit et partagent les résultats.
Savoir coopérer cela s'apprend. Bien au delà de la réelle puissance des outils numériques ou des croyances de la magie du web, coopérer cela demande à chaque humain de conduire ou se faire accompagner dans la conduite du changement professionnel pour passer de la posture "Moi Seul" à celle de "Avec les Autres". Quelque soit les talents, les organisations, les outils, la communication ou les financements utilisés... en l'absence de cette prise de conscience individuelle du besoin d'apprentissage de savoir être et coopérer, beaucoup de projets sont compromis dès leurs créations.
Le monde s'organise en réseaux. Re-organisons nos organisations, nos territoires, nos réflexions, nos projets, nos carrières, nos actions, nos développements, notre écoute et notre dialogue avec nos marchés, nos analyses.....en mode réseaux et cercles d'intelligences collectives.
Amusons nous à répondre à cette "checklist" et évaluons notre état d'esprit réseau.
Avec qui en ce moment :
Liste des logiciels Open Sources utilisés pour que Google fonctionne (source et liens dans le navigateur chrome. Rubrique A propos dans les outils)
Travailler ensemble. En observant la méthode de co-construction du logiciel, on comprend mieux pourquoi ce navigateur est devenu aussi performant en aussi de peu de temps. Mozilla Firefox, le navigateur leader open source qui a fait partie des premiers à utiliser cette méthode de co-développement vient de publier sa nouvelle version 4.
Ensemble on est plus fort. Les humains de tout pays découvrent (ou redécouvrent) qu'ensemble on est plus fort avec encore plus d'efficacité pour ceux qui activent la puissance des outils numériques. Que se soit dans le monde de l'industrie, de l'économie, de l'intelligence, des arts... ou pour résoudre les problèmes du 3ème millénaire mais aussi pour limiter les impacts des catastrophes comme celle du Japon, l'homme n'a rien inventé de mieux que de s'organiser en cercle d'intelligence et d'actions collectives tout en mutualisant ses forces pour réussir là où seul il ne peut plus rien. Au lieu d'entrer dans une phase de défaitisme croissant, certains humains réorganisent les intelligences et les forces des humains disponibles dans un nouvel état esprit et partagent les résultats.
Savoir coopérer cela s'apprend. Bien au delà de la réelle puissance des outils numériques ou des croyances de la magie du web, coopérer cela demande à chaque humain de conduire ou se faire accompagner dans la conduite du changement professionnel pour passer de la posture "Moi Seul" à celle de "Avec les Autres". Quelque soit les talents, les organisations, les outils, la communication ou les financements utilisés... en l'absence de cette prise de conscience individuelle du besoin d'apprentissage de savoir être et coopérer, beaucoup de projets sont compromis dès leurs créations.
Le monde s'organise en réseaux. Re-organisons nos organisations, nos territoires, nos réflexions, nos projets, nos carrières, nos actions, nos développements, notre écoute et notre dialogue avec nos marchés, nos analyses.....en mode réseaux et cercles d'intelligences collectives.
Amusons nous à répondre à cette "checklist" et évaluons notre état d'esprit réseau.
Avec qui en ce moment :
- construisez vous un produit ou un service ?
- mener vous une campagne de communication ?
- partager vous les compétences d'un salarié d'une fonction absente dans votre entreprise ?
- organisez vous un salon ou un voyage d'étude à l'étranger ??
- construisez vous une communauté professionnelle en réseaux ?
- déployez vous vos campagnes de prospection
- partager vous vos locaux ?
- organisez vous une interview radio ou TV web ?
- menez vous des achats groupés ?
- mutualisez vous l'efficacité d'un consultant pour profiter ensemble des réseaux sociaux ?
......
Si vous ne pouvez pas répondre ou que vous constatez que vous êtes trop souvent seul(e) dans vos réponses, parlez en avec des consultants extérieurs. Et commençons par discuter de ce sujet ici.
Liste des logiciels Open Sources utilisés pour que Google fonctionne (source et liens dans le navigateur chrome. Rubrique A propos dans les outils)
Netscape Portable Runtime (NSPR)e
Network Security Services (NSS)
purify headers
google-glog's symbolization library
valgrind
xdg-mime
xdg-user-dirs
BSDiff
XZ Utilse
google-jstemplate
Launchpad Translations
Mozilla Personal Security Managere
gssapi
Google Toolbox for Mac
WebKit
ActiveX Scripting SDK
Almost Native Graphics Layer Engine
Apple sample code
Darwi
bsdiff
bspatch
bzip2
Google Cache Invalidation API
Compact Language Detectione
codesighs
expat
ffmpeg
OpenGL ES 2.0 Programming Guide
OpenGL ES 2.0 Conformance Tests
gpsd
Harfbuzz
hunspell
hunspell dictionaries
hyphen-2.6
IAccessible2 COM interfaces for accessibility
iccjpeg
ICU
Chinese and Japanese Word List
ISimpleDOM COM interfaces for accessibility
jemalloc
lcov
libeven
libjingle
libjpeg
libjpeg-turbo
libpng
libsrtp
libvpx
libwebpdecode
libxml
libxslt
LZMA SDK
MesaLib
modp base64 decoders
NSBezierPath additions from Sean Patrick O'Brien
Mongoose
Cocoa extension code from Camino
npapi
OCMock
OpenMAX IL
openssl
OTS (OpenType Sanitizer)
pdfsqueeze
ppapi
protobuf
pyftpdlib
pywebsocket
qcms library
Google Safe Browsing
simplejson
skia
speex
SQLite
swig
talloc
tcma
tlslite
undoview
Webdriver
WTL 8.0
xdg-utils
XUL Runner SDK
yasm
zlib
Strongtalk
mardi 29 mars 2011
Présent et Avenir de numérique en Entreprise
Paradoxalement dans l'environnement professionnel sur le web, beaucoup d'articles parlent de l'avenir de l'internet et d'autres des difficultés ou des lenteurs de l'adaptation de leurs usages au présent.
Ne sommes nous pas en train de faire le grand écart ? Ces opposés qui s'attirent contribuent à la création d'un espace où s'entrechoque, comme des électrons libres, des informations sur un avenir qui ne cesse de se réinventer à mesure que nous avançons et un présent caractérisé en majorité par une attente et l'absence de mesure des impacts par métiers.
Si j'étais médecin, je prescrirai du repos neuronale et par commencer à appliquer dans mon présent une réflexion personnalisée avec persévérance dans l'usage les plus rentables tout en suivant d'un oeil (veille) et en organisant peu à peu, la progression des nouveaux après validation de leurs maturations techniques et sociétales. Il n'est pas raisonnable de demander de changer d'habitude de travail aux professionnels tant que l'on a pas convaincu et prouvé ce que en quoi et comment c'est nouveaux usages vont améliorer les processus ou les relations.
Faire évoluer nos organisations, nos pratiques métiers et nos mode de relations n'est plus un débat mais une évidence. Trop longtemps perçu comme une mode ou une bulle, le numérique en général et le web en particulier, ouvre aux multinationales, aux PME mais aussi aux TPE, des voies nouvelles de croissance, de création de richesse et d'économie de coût tout en changeant nos modes de relations inter professionnels. Mais la course sans cesse aux outils numériques renouvelés, dont les nouveaux tentent d'influencer à coup de publicité beuzzée, celles des anciens encore en recherches de preuve de rentabilité et ou des habitudes, est un processus de conduite de changement, qui au lieu de rassurer, inquiète les acteurs du marché, provoquant des comportements allant de la frénésie à l'immobilisme. Il y a d'autres voies pour conduire avec succès le changement dans l'entreprise. J'invite chaque décideur d'entreprise à évaluer régulièrement sa feuille de route numérique actuelle et à changer de méthode d'approche si les résultats ne sont pas au rendez-vous.
Analysons, dialoguons, sélectionnons, personnalisons, maquettons, corrigeons, évaluons un plan réaliste de conduite du changement adaptée au contexte et au capital humain disponible puis je vous suggère de corriger le réalisme de la feuille de route des décideurs qui demande que l'objectif ROI à court terme passe avant celui de la réputation. Il y a plusieurs chemins pour aller à Rome.
Qu'en dites vous ? Préférez vous continuer à changer tout le temps les outils numériques dans l'espoir de trouver un jour le bon ? Pensez vous que "parler usages" vaut mieux que parler d'outils et permet de mieux maîtriser l'évolution de son changement vers le numérique ?
Ne sommes nous pas en train de faire le grand écart ? Ces opposés qui s'attirent contribuent à la création d'un espace où s'entrechoque, comme des électrons libres, des informations sur un avenir qui ne cesse de se réinventer à mesure que nous avançons et un présent caractérisé en majorité par une attente et l'absence de mesure des impacts par métiers.
Si j'étais médecin, je prescrirai du repos neuronale et par commencer à appliquer dans mon présent une réflexion personnalisée avec persévérance dans l'usage les plus rentables tout en suivant d'un oeil (veille) et en organisant peu à peu, la progression des nouveaux après validation de leurs maturations techniques et sociétales. Il n'est pas raisonnable de demander de changer d'habitude de travail aux professionnels tant que l'on a pas convaincu et prouvé ce que en quoi et comment c'est nouveaux usages vont améliorer les processus ou les relations.
Faire évoluer nos organisations, nos pratiques métiers et nos mode de relations n'est plus un débat mais une évidence. Trop longtemps perçu comme une mode ou une bulle, le numérique en général et le web en particulier, ouvre aux multinationales, aux PME mais aussi aux TPE, des voies nouvelles de croissance, de création de richesse et d'économie de coût tout en changeant nos modes de relations inter professionnels. Mais la course sans cesse aux outils numériques renouvelés, dont les nouveaux tentent d'influencer à coup de publicité beuzzée, celles des anciens encore en recherches de preuve de rentabilité et ou des habitudes, est un processus de conduite de changement, qui au lieu de rassurer, inquiète les acteurs du marché, provoquant des comportements allant de la frénésie à l'immobilisme. Il y a d'autres voies pour conduire avec succès le changement dans l'entreprise. J'invite chaque décideur d'entreprise à évaluer régulièrement sa feuille de route numérique actuelle et à changer de méthode d'approche si les résultats ne sont pas au rendez-vous.
Analysons, dialoguons, sélectionnons, personnalisons, maquettons, corrigeons, évaluons un plan réaliste de conduite du changement adaptée au contexte et au capital humain disponible puis je vous suggère de corriger le réalisme de la feuille de route des décideurs qui demande que l'objectif ROI à court terme passe avant celui de la réputation. Il y a plusieurs chemins pour aller à Rome.
Qu'en dites vous ? Préférez vous continuer à changer tout le temps les outils numériques dans l'espoir de trouver un jour le bon ? Pensez vous que "parler usages" vaut mieux que parler d'outils et permet de mieux maîtriser l'évolution de son changement vers le numérique ?
A quoi ressemble le quotidien d'un cadre dirigeant ou d'un manager de proximité aujourd'hui ?
Demander directement aux intéressés m'a toujours semblé le chemin le plus court pour rester dans la réalité des attentes terrain. Ecouter les informations récoltées m'apparaît la deuxième bonne attitude. En déduire des actions orientées vers l'humain me semble la plus belle voie d'utilisation.
Jean Paul, propose de contribuer pour évaluer "A quoi ressemble le quotidien d’un cadre dirigeant ou d’un manager de proximité aujourd’hui ? " Comme l'indique Jean Paul dans le réseau viadéo, ceux qui participeront au sondage recevront la synthèse de l'étude.
Jean Paul, propose de contribuer pour évaluer "A quoi ressemble le quotidien d’un cadre dirigeant ou d’un manager de proximité aujourd’hui ? " Comme l'indique Jean Paul dans le réseau viadéo, ceux qui participeront au sondage recevront la synthèse de l'étude.
lundi 28 mars 2011
Les voies du changement sont elles impénétrables !!
Certains professionnels sceptiques des apports constructives du numérique pour leurs métiers s'enferment parfois dans des clichés bloquant leurs capacités d'adaptation au changement. D'autres arrêtent leurs efforts ou mieux encore ne les commencent pas sur la base du raisonnement que l'être humain change que trop lentement. Confronté à l'accélération, démarré il y a longtemps mais exponentielle en ce début de siècle, des professionnels baissent les bras, s'avouant vaincu en oubliant que depuis longtemps, ils n'ont fait que s'adapter aux technologies et ...avec succès. Tout ceci est une question de regard sur soi.
Commencer à changer le regard que vous portez sur vous. Cela commence par comprendre que pour démarrer ce processus, il n'est nécessaire de nourrir autrement votre système d'informations personnelles. Votre cerveau raisonne avec ce qu'il accumule dans sa mémoire en traversant vos périodes d'éducation, de formation, d'expérience et de croyances. Il rajoute et filtre tous les jours ce "qu'il veut bien entendre et ressentir " en provenance de vos cinq sens confronté à ce qu'il perçoit aussi en provenance de l'intérieur. Alors commençons par étape. Je vous propose pour démarrer de ne pas mettre la barre d'objectif trop haute. Je vous libre une recette simple de début de conduite changement professionnel; D'abord 1 - sortir de vos lectures et auteurs d'habituels. Essayer aussi d'autres supports comme le web, un fichier sur votre mobile ou encore un ebook. Voilà une bonne première manière d'amener votre cerveau à sortir de sa zone de confort et éviter qu'il vous continue à vous filtrer la réalité du monde ambiant qui continue à avancer sans vous.
Discutez avec d'autres professionnels d'autres métiers. 2 - Le deuxième ingrédient de ma recette pour enclencher un début de changement, c'est le dialogue. Mais un dialogue sélectionné essentiellement avec des personnes, des fonctions et des mêmes secteurs d'activités différents des vôtres. Profitez en également par vous familiariser aussi avec les espaces d'échanges numériques comme par exemple un de mes Hubs ouvert en 2006 dans les réseaux sociaux comme viadeo, Facebook, Linkedin ou Twitter. Entretenez les échanges dans les forums qui s'intéressent à votre métier ou vos passions. Entraînez vous aussi à découvrit et à acquérir les nouvelles postures professionnelles d'agilité et d'efficacité disponibles grâce aux outils mobiles organisés en mode nomade.
Recommander ce que vous aimez. Dialoguez c'est bien. Mais en faire profiter votre réseau c'est mieux. Je vous invite à profiter des outils numériques qui facilitent votre présence sur le web pour exposer vos analyses; votre sens du dialogue et vos points de vue pour participer à l'enrichissement de votre communauté professionnelle. Pensez à recommander les personnes, lieux et évènements que vous avez apprécié pour permettre à d'autres de profiter de votre expérience.
Le changement cela ne se copie pas sur l'autre. Dans un siècle ou les outils et la tentation de copier coller pour avancer plus vite est très forte, je conseille comme d'ailleurs aussi dans des moments de phases de création d'entreprises ou pour la soutenance de mémoires, d'essayer d'analyser sa propre voie et de ne pas par facilité, essayer de recopier le chemin d'un(e) autre. Le succès du "copain(e) d'à coté" n'ayant rien à voir avec votre route à venir et celle d'où vous venez, ni de communauté de rapport avec vos objectifs et encore moins de similitude avec votre secteur d'activité dans votre région ou votre pays. En suivant votre voie, vous conserverez votre authenticité, élément déterminant de différentiation professionnelle face à un monde qui se globalise et accentue la concurrence.
Je vous propose qu'ensemble, nous établissions une sélection de livres qui vous sont apparus comme facteurs utiles dans un processus permettant de voir, entendre, sentir, ressentir et goûter autrement. Le début du changement.
Commencer à changer le regard que vous portez sur vous. Cela commence par comprendre que pour démarrer ce processus, il n'est nécessaire de nourrir autrement votre système d'informations personnelles. Votre cerveau raisonne avec ce qu'il accumule dans sa mémoire en traversant vos périodes d'éducation, de formation, d'expérience et de croyances. Il rajoute et filtre tous les jours ce "qu'il veut bien entendre et ressentir " en provenance de vos cinq sens confronté à ce qu'il perçoit aussi en provenance de l'intérieur. Alors commençons par étape. Je vous propose pour démarrer de ne pas mettre la barre d'objectif trop haute. Je vous libre une recette simple de début de conduite changement professionnel; D'abord 1 - sortir de vos lectures et auteurs d'habituels. Essayer aussi d'autres supports comme le web, un fichier sur votre mobile ou encore un ebook. Voilà une bonne première manière d'amener votre cerveau à sortir de sa zone de confort et éviter qu'il vous continue à vous filtrer la réalité du monde ambiant qui continue à avancer sans vous.
Discutez avec d'autres professionnels d'autres métiers. 2 - Le deuxième ingrédient de ma recette pour enclencher un début de changement, c'est le dialogue. Mais un dialogue sélectionné essentiellement avec des personnes, des fonctions et des mêmes secteurs d'activités différents des vôtres. Profitez en également par vous familiariser aussi avec les espaces d'échanges numériques comme par exemple un de mes Hubs ouvert en 2006 dans les réseaux sociaux comme viadeo, Facebook, Linkedin ou Twitter. Entretenez les échanges dans les forums qui s'intéressent à votre métier ou vos passions. Entraînez vous aussi à découvrit et à acquérir les nouvelles postures professionnelles d'agilité et d'efficacité disponibles grâce aux outils mobiles organisés en mode nomade.
Recommander ce que vous aimez. Dialoguez c'est bien. Mais en faire profiter votre réseau c'est mieux. Je vous invite à profiter des outils numériques qui facilitent votre présence sur le web pour exposer vos analyses; votre sens du dialogue et vos points de vue pour participer à l'enrichissement de votre communauté professionnelle. Pensez à recommander les personnes, lieux et évènements que vous avez apprécié pour permettre à d'autres de profiter de votre expérience.
Le changement cela ne se copie pas sur l'autre. Dans un siècle ou les outils et la tentation de copier coller pour avancer plus vite est très forte, je conseille comme d'ailleurs aussi dans des moments de phases de création d'entreprises ou pour la soutenance de mémoires, d'essayer d'analyser sa propre voie et de ne pas par facilité, essayer de recopier le chemin d'un(e) autre. Le succès du "copain(e) d'à coté" n'ayant rien à voir avec votre route à venir et celle d'où vous venez, ni de communauté de rapport avec vos objectifs et encore moins de similitude avec votre secteur d'activité dans votre région ou votre pays. En suivant votre voie, vous conserverez votre authenticité, élément déterminant de différentiation professionnelle face à un monde qui se globalise et accentue la concurrence.
Je vous propose qu'ensemble, nous établissions une sélection de livres qui vous sont apparus comme facteurs utiles dans un processus permettant de voir, entendre, sentir, ressentir et goûter autrement. Le début du changement.
vendredi 25 mars 2011
E-commerce et distribution, comment internet bouscule les canaux de vente
Des routes, vers de nouveaux liens d'humain à humain, s'ouvrent devant nous. Explorons les.
Le livre d'Olivier est une première pierre de réflexion pour la construction des routes utile autant pour les PME. que les multinationales. Osons rencontrer nos nouveaux clients. Et si l'enjeu vous paraît au dessus de vos ressources actuelles, travaillons les alliances transverses inter secteurs et mutualisons les coûts tout utilisant l'efficacité des usages du web pour manager les projets en mode réflexion collaborative et synergie d'actions.
Plus de détails sur le livre
Le livre d'Olivier est une première pierre de réflexion pour la construction des routes utile autant pour les PME. que les multinationales. Osons rencontrer nos nouveaux clients. Et si l'enjeu vous paraît au dessus de vos ressources actuelles, travaillons les alliances transverses inter secteurs et mutualisons les coûts tout utilisant l'efficacité des usages du web pour manager les projets en mode réflexion collaborative et synergie d'actions.
Plus de détails sur le livre
jeudi 24 mars 2011
A force de trop vouloir croire, on finit par ne plus rien voir.
Le web n'est pas ce que l'on voudrait qu'il soit.
Le web décide de son devenir et nous n'avons aucune prise sur son évolution.
A force de multiplier les mêmes messages parfois même sans en vérifier les sources, les traductions, ou encore les intentions des émetteurs, chacun sur le web finit par baigné dans un système d'informations déformé le conduisant à prendre, avec une bonne méthode, de mauvaises décisions l'entraînant vers de mauvais résultats ou du gaspillage de ressources. A coté de contenus de valeur, et d'analyses pertinentes, le web véhicule de nombreux clichés qui par massification et répétition de robots numériques, finissent par entrée dans les systèmes d'informations des entreprises et des personnes. Je prendrai un exemple parmi tant d'autres : l'âge moyen du web en France.
Quel âge à le web Français ? Très régulièrement nous entendons dire que le web n'est qu'un espace de jeunes génération seules capables de maîtriser et que les seniors actifs (classe d'âge qui commence dès 45 ans) ne savent pas se servir des nouveaux outils et évoluent trop lentement dans leurs usages. On découvre aussi que le web va encore bientôt rajeunir avec l'arrivée imminente d'une future génération élevée au biberon numérique et qui grandissant dans un environnement hyper connecté, ne pourra plus s'adapter à d'autres usages que le numérique. Ce phénomène d'hyper numérisation sera sans doute à observer dans une dizaine d'années tout en conservant à l'esprit que toutes les jeunes générations sont loin d'être tous à l'aise avec les outils numériques professionnels suivant leurs éducations ou leurs formations. Amplifier l'anticipation d'un avenir en perpétuel mouvement risque de désorganiser l'image perçue dans le présent entraînant le risque d'une désynchronisant entre les offres des entreprises, la réalité des attentes des clients et celle des besoin en compétences et expériences en matière d'emplois. Il y a un risque de passer à coté de la croissance ou de laisser à la concurrence des parts de marché présentant les meilleurs ratios de pouvoir d'achat et peut être finalement nous éloigner de nos clients.
Nous pouvons avoir les meilleurs outils numériques de la planète, si nous ne savons plus voir ni écouté les humains, nous seront tout de même devenu aveugles.
le Top 3 de l'audience par classes d'âges les plus représentés dans le top100 Français
Janvier 2011
1 - 35-44 ans avec 46%
2 - 25-34 ans avec 17%
3 - 45-54 ans avec 14%.
(mesuré avec Google Doubleclick Ad Planner) (méthode de calcul des estimations)
Février
1 -
2 -
3 -
Chaque mois je mettrai à jour le top 3 pour observer si la tendance se "saisonalise" en 2011 et affiner au fur et à mesure, une image réelle au bout de 12 mois. Abonnez vous à mon blogue (en haut à droite de la page d'accueil) ou suivez ma time line sur Twitter vous recevrez la mise à jour automatiquement.
A quoi pensez vous en lisant ses chiffres ?
C'est chiffres sont ils conformes à l'idée que vous vous faites du web ?
La bataille des classes d'âges sur le web vous parait elle intéressante ou superficiel ?
Le web décide de son devenir et nous n'avons aucune prise sur son évolution.
A force de multiplier les mêmes messages parfois même sans en vérifier les sources, les traductions, ou encore les intentions des émetteurs, chacun sur le web finit par baigné dans un système d'informations déformé le conduisant à prendre, avec une bonne méthode, de mauvaises décisions l'entraînant vers de mauvais résultats ou du gaspillage de ressources. A coté de contenus de valeur, et d'analyses pertinentes, le web véhicule de nombreux clichés qui par massification et répétition de robots numériques, finissent par entrée dans les systèmes d'informations des entreprises et des personnes. Je prendrai un exemple parmi tant d'autres : l'âge moyen du web en France.
Quel âge à le web Français ? Très régulièrement nous entendons dire que le web n'est qu'un espace de jeunes génération seules capables de maîtriser et que les seniors actifs (classe d'âge qui commence dès 45 ans) ne savent pas se servir des nouveaux outils et évoluent trop lentement dans leurs usages. On découvre aussi que le web va encore bientôt rajeunir avec l'arrivée imminente d'une future génération élevée au biberon numérique et qui grandissant dans un environnement hyper connecté, ne pourra plus s'adapter à d'autres usages que le numérique. Ce phénomène d'hyper numérisation sera sans doute à observer dans une dizaine d'années tout en conservant à l'esprit que toutes les jeunes générations sont loin d'être tous à l'aise avec les outils numériques professionnels suivant leurs éducations ou leurs formations. Amplifier l'anticipation d'un avenir en perpétuel mouvement risque de désorganiser l'image perçue dans le présent entraînant le risque d'une désynchronisant entre les offres des entreprises, la réalité des attentes des clients et celle des besoin en compétences et expériences en matière d'emplois. Il y a un risque de passer à coté de la croissance ou de laisser à la concurrence des parts de marché présentant les meilleurs ratios de pouvoir d'achat et peut être finalement nous éloigner de nos clients.
Nous pouvons avoir les meilleurs outils numériques de la planète, si nous ne savons plus voir ni écouté les humains, nous seront tout de même devenu aveugles.
le Top 3 de l'audience par classes d'âges les plus représentés dans le top100 Français
Janvier 2011
1 - 35-44 ans avec 46%
2 - 25-34 ans avec 17%
3 - 45-54 ans avec 14%.
(mesuré avec Google Doubleclick Ad Planner) (méthode de calcul des estimations)
Février
1 -
2 -
3 -
Chaque mois je mettrai à jour le top 3 pour observer si la tendance se "saisonalise" en 2011 et affiner au fur et à mesure, une image réelle au bout de 12 mois. Abonnez vous à mon blogue (en haut à droite de la page d'accueil) ou suivez ma time line sur Twitter vous recevrez la mise à jour automatiquement.
A quoi pensez vous en lisant ses chiffres ?
C'est chiffres sont ils conformes à l'idée que vous vous faites du web ?
La bataille des classes d'âges sur le web vous parait elle intéressante ou superficiel ?
Les âges des humains dans les réseaux sociaux. Confirmation des idées reçues ? Qu'en est il un an après ?
Il est toujours très difficile d'avoir des réponses claires de la part des sites du web tant les chiffres peuvent être, suivant le besoin, éclairé différemment. Difficulté compliquant la tache des dirigeants, des web marketer et des décideurs commerciaux dont certains parfois se laisser aveugler par le buzz ou les clichés viralement colportés, les entraînant malgré de vrais bonnes méthodes, vers de vrais mauvais résultats.
Le consommateur a toujours raison et de plus en plus vite. Très vite la réalité terrain sur web et les échanges réels avec les consomm"acteurs" rétablissent les erreurs dans la mesure où l'entreprises est réactive et agile. A la vitesse avec laquelle se propage le web, Il est essentiel que les chiffres soient les plus exactes possibles sans oublier de les adapter aux différentes réactions culturelles par pays. Il est tout aussi utile de s'intéresser à comprendre pourquoi autant de vrais (fausses) informations circulent sur le web alimentant les clichés.
Revenons un an en arrière. Il est donc à saluer le travail de l'équipe de Pindgon en 2010 sur les 19 principaux espaces web des réseaux sociaux des états unis.
Que nous apprend cette analyse ? Nous découvrons que tous sites confondus, c'est la classe d'âge 35-44 ans qui est la plus représenté, suivit des 45-54 talonné par les 25-34. Viennent ensuite les 0-17, super fort pour avoir étudié la classe d'âge zéro :-), et au coude à coude les 18-24 et les 50-64 . Seulement 3% des utilisateurs est âgé de plus de 65 ans. Cette étude éclaire autrement ce qui est entendu communément. Malgré notre retard d'usages comparé à nos collègues américains, nous ne devons être très loin de cette répartition ou tout du moins en chemin. Cette observation devrait faire évoluer certaines décisions internes d'entreprises en matière de ciblage de consommateurs et d'emplois dans la mesure ou les objectifs seraient d'améliorer à court terme et le ROI du canal de commerce électronique, faire plaisir aux financiers. En matière de réseaux sociaux, donc de relations humaines, il n'est pas toujours utile d'empiler ou de zapper les outils numériques pour espérer une satisfaction. Bien sur le ratio de présence n'est pas symétrique à celui des usages par âge et encore faut il que les entreprises disposent dans leurs catalogues, des offres correspondantes à chaque profil présent sur le web.
Descendons en profondeurs car la surface est parfois trompeuse. Je vous laisse aller regarder la répartition d'âge par site qui vous permet de facilement comprendre les objectifs, voulus ou subit, de chaque espace web et vous permettre d'améliorer votre efficacité relationnelle ou vos résultats professionnels en vous permettant d'organiser mieux vos efforts, votre temps et votre budget dans les bons espaces. Beaucoup trop d'internautes professionnels font du réseau pour du réseau et finissent par trouver cela chronophage. Parfois personne ne les a amené à se poser les bonnes questions, convaincus de l'arrivée imminente du miracle des outils numériques. Parfois il est utile de réfléchir à la synchronicité pour accéder à l'efficacité. En passant je ne résiste pas de vous dire que 61% des utilisateurs Facebook et 64% chez Twitter ont une moyenne d'âge de 35 ans.
Résumons :
- L'utilisateur moyen sur le web social en 2010 avait 37 ans.
- Linkedin orienté business à une moyenne plus âgée à 44 ans, Twitter à 39 ans, Facebook à 38 ans et Myspace à 31 ans. Bebo est l'espace le plus jeune avec une moyenne d'âge de 28 ans.
En conclusion; Le web social n'est pas dominé par les jeunes générations. Nous verrons dans les années à venir comment cela va évoluer suivant les pays. Mais aujourd'hui, Il est utile de constater grâce à cette étude l'importance dans nos décisions professionnelles ou personnelles, de l'influence des masses d'informations qui circulent souvent amplifiée par des outils robots de plus en plus efficace. Nos décisions d'entreprises en dépendent influençant nos résultats en matière de création de stratégie, de création de richesses, d'emplois et de crédibilité dans la relations avec nos clients...Aussi. Au pays du numérique habitent de vrais humains qui se parlent, recommandent des produits et des services sur une échelle de satisfaction sans commune mesure avec les sondages et les statistiques.
Nous avons trop d'internautes Français qui à partir d'un "certain age" achètent plus sur les sites web étrangers que ceux territoriaux. Soit que les chiffres rendent invisibles leurs attentes aux entreprises, soit que nous ne soyons pas intéressé à leurs proposer des offres. Dans les deux cas nous passons à coté d'une part de marché à évolution grandissante, caractérisée par une plus grande stabilité de pouvoir d'achat et un niveau de fidélité rarement rencontré dans d'autres classes d'âge de consommateurs ou de collaborateurs d'entreprises
L'étude complète sur Royal Pingdon et avec les charts de Google Ad planner.
Qu'en dites vous ? Avez vous croisé d'autres études en 2011 ?
Pensez vous que nous pourrions avoir chaque année, les chiffres des fournisseurs de notre écosystème numérique Français ?
Le consommateur a toujours raison et de plus en plus vite. Très vite la réalité terrain sur web et les échanges réels avec les consomm"acteurs" rétablissent les erreurs dans la mesure où l'entreprises est réactive et agile. A la vitesse avec laquelle se propage le web, Il est essentiel que les chiffres soient les plus exactes possibles sans oublier de les adapter aux différentes réactions culturelles par pays. Il est tout aussi utile de s'intéresser à comprendre pourquoi autant de vrais (fausses) informations circulent sur le web alimentant les clichés.
Revenons un an en arrière. Il est donc à saluer le travail de l'équipe de Pindgon en 2010 sur les 19 principaux espaces web des réseaux sociaux des états unis.
Que nous apprend cette analyse ? Nous découvrons que tous sites confondus, c'est la classe d'âge 35-44 ans qui est la plus représenté, suivit des 45-54 talonné par les 25-34. Viennent ensuite les 0-17, super fort pour avoir étudié la classe d'âge zéro :-), et au coude à coude les 18-24 et les 50-64 . Seulement 3% des utilisateurs est âgé de plus de 65 ans. Cette étude éclaire autrement ce qui est entendu communément. Malgré notre retard d'usages comparé à nos collègues américains, nous ne devons être très loin de cette répartition ou tout du moins en chemin. Cette observation devrait faire évoluer certaines décisions internes d'entreprises en matière de ciblage de consommateurs et d'emplois dans la mesure ou les objectifs seraient d'améliorer à court terme et le ROI du canal de commerce électronique, faire plaisir aux financiers. En matière de réseaux sociaux, donc de relations humaines, il n'est pas toujours utile d'empiler ou de zapper les outils numériques pour espérer une satisfaction. Bien sur le ratio de présence n'est pas symétrique à celui des usages par âge et encore faut il que les entreprises disposent dans leurs catalogues, des offres correspondantes à chaque profil présent sur le web.
Descendons en profondeurs car la surface est parfois trompeuse. Je vous laisse aller regarder la répartition d'âge par site qui vous permet de facilement comprendre les objectifs, voulus ou subit, de chaque espace web et vous permettre d'améliorer votre efficacité relationnelle ou vos résultats professionnels en vous permettant d'organiser mieux vos efforts, votre temps et votre budget dans les bons espaces. Beaucoup trop d'internautes professionnels font du réseau pour du réseau et finissent par trouver cela chronophage. Parfois personne ne les a amené à se poser les bonnes questions, convaincus de l'arrivée imminente du miracle des outils numériques. Parfois il est utile de réfléchir à la synchronicité pour accéder à l'efficacité. En passant je ne résiste pas de vous dire que 61% des utilisateurs Facebook et 64% chez Twitter ont une moyenne d'âge de 35 ans.
Résumons :
- L'utilisateur moyen sur le web social en 2010 avait 37 ans.
- Linkedin orienté business à une moyenne plus âgée à 44 ans, Twitter à 39 ans, Facebook à 38 ans et Myspace à 31 ans. Bebo est l'espace le plus jeune avec une moyenne d'âge de 28 ans.
En conclusion; Le web social n'est pas dominé par les jeunes générations. Nous verrons dans les années à venir comment cela va évoluer suivant les pays. Mais aujourd'hui, Il est utile de constater grâce à cette étude l'importance dans nos décisions professionnelles ou personnelles, de l'influence des masses d'informations qui circulent souvent amplifiée par des outils robots de plus en plus efficace. Nos décisions d'entreprises en dépendent influençant nos résultats en matière de création de stratégie, de création de richesses, d'emplois et de crédibilité dans la relations avec nos clients...Aussi. Au pays du numérique habitent de vrais humains qui se parlent, recommandent des produits et des services sur une échelle de satisfaction sans commune mesure avec les sondages et les statistiques.
Nous avons trop d'internautes Français qui à partir d'un "certain age" achètent plus sur les sites web étrangers que ceux territoriaux. Soit que les chiffres rendent invisibles leurs attentes aux entreprises, soit que nous ne soyons pas intéressé à leurs proposer des offres. Dans les deux cas nous passons à coté d'une part de marché à évolution grandissante, caractérisée par une plus grande stabilité de pouvoir d'achat et un niveau de fidélité rarement rencontré dans d'autres classes d'âge de consommateurs ou de collaborateurs d'entreprises
L'étude complète sur Royal Pingdon et avec les charts de Google Ad planner.
Qu'en dites vous ? Avez vous croisé d'autres études en 2011 ?
Pensez vous que nous pourrions avoir chaque année, les chiffres des fournisseurs de notre écosystème numérique Français ?
Les personnes sont la vraie richesse d’une nation.
[« Les personnes sont la vraie richesse d’une nation ». Par ces mots, le Rapport sur le
développement humain (RDH) de 1990, se fit le précurseur d'une approche nouvelle du développement....].
20 ans plus tard, en est il toujours ainsi ? Quels paramètres de cette affirmation, le numérique, vient il modifier ?
Je vous invite à lire le rapport publié par le programme des Nations Unis pour le développement.
Selon vous en quoi, le numérique en général, le web et les réseaux sociaux en particulier peuvent ils être actif dans le cadre de cette affirmation ?
développement humain (RDH) de 1990, se fit le précurseur d'une approche nouvelle du développement....].
20 ans plus tard, en est il toujours ainsi ? Quels paramètres de cette affirmation, le numérique, vient il modifier ?
Je vous invite à lire le rapport publié par le programme des Nations Unis pour le développement.
Selon vous en quoi, le numérique en général, le web et les réseaux sociaux en particulier peuvent ils être actif dans le cadre de cette affirmation ?
mercredi 23 mars 2011
Cela parle d'humain dans les blogues. Un voyage en mode sérendipité
Comme éclaireur ou éveilleur du web, j'aime bien entamer des grands voyages en mode sérendipité sur les océans du net. Je vous fait profiter de mes découvertes. où le hasard n'a pas sa place.
Attachez vos ceintures, nous allons décoller.
Après avoir découvert que le facteur humain a ses limites , nous regarderons la relation entre l'homme et le travail puis nous remontrons le temps pour explorer le vestige de notre passé reptilien dans notre cerveau. Comme cela fait déjà quelques blogues que nous tournons ensemble autour de l'homme, je vous propose maintenant d'utiliser la technologie numérique pour mieux le comprendre de l'intérieur. D'humain et d'entreprise, vous pourrez en parler à Paris le 1er avril à la conférence "L'humain au coeur de l'entreprise" organisée par l'école centrale de Marseille. A l'autre bout de la planète vous aborderez sur les rives de l'innovation où Géminoid travaille avec son créateur à nous ressembler pendant qu'ailleurs en pleine nature d'autre se demande si nous n'aurions pas besoin d'un statut
Le voyage se termine ici pour l'instant. J'espère que cela vous plut et je vous invite à exprimer quelles ont été vos impressions.
Attachez vos ceintures, nous allons décoller.
Après avoir découvert que le facteur humain a ses limites , nous regarderons la relation entre l'homme et le travail puis nous remontrons le temps pour explorer le vestige de notre passé reptilien dans notre cerveau. Comme cela fait déjà quelques blogues que nous tournons ensemble autour de l'homme, je vous propose maintenant d'utiliser la technologie numérique pour mieux le comprendre de l'intérieur. D'humain et d'entreprise, vous pourrez en parler à Paris le 1er avril à la conférence "L'humain au coeur de l'entreprise" organisée par l'école centrale de Marseille. A l'autre bout de la planète vous aborderez sur les rives de l'innovation où Géminoid travaille avec son créateur à nous ressembler pendant qu'ailleurs en pleine nature d'autre se demande si nous n'aurions pas besoin d'un statut
Le voyage se termine ici pour l'instant. J'espère que cela vous plut et je vous invite à exprimer quelles ont été vos impressions.
Le numérique appliqué à la recommandation : un nouveau canal de business est en marche
En tant professionnel d'entreprise, vous entendez depuis longtemps parler d'ebusiness, comme l'usage numérique le plus répandu pour développer son chiffre d'affaires ou diversifier ses canaux de distribution. Et même si souvent je vous conseille, quelque soit votre taille, d'avoir un projet de commerce électronique, il est loin d'être le seul usage pour faire du chiffre d'affaires où optimiser sa prospection commerciale sur le marché BtoB ou BtoC. Vous entendez parler de plus en plus de stratégie numérique de la recommandation. Un nouveau (ancien) canal de création de valeurs s'ouvre, s'amplifie et s'étend.
Des modes de recommandation. Il y a plus d'un usage numérique de la recommandation et de nouveaux s'inventent régulièrement. Certaines entreprises ont assis leurs succès comme Ebay avec des systèmes d'appréciation à étoiles, d'autres comme Facebook utilisent des expressions simples comme "I like", d'autres comme Viadéo ou Linkedin vous proposent de les publier pour valoriser vos talents professionnels. Vous croisez aussi des entreprises qui vous demandent de laisser un avis sur un restaurant ou un voyage ou encore comme l'entreprise française JKPM dans le monde du BtoB, qui vous permet de développer plus vite votre chiffre d'affaires en demandant une recommandation auprès de clients ciblés en France, en Europe ou dans le monde. Quelques soient les organisations numériques de la recommandation, il est utile de rappeler qu'à la base de cet échange, il y a un humain qui parle à un ou d'autres humains, d'une expérience ou de la connaissance d'une information de valeur qu'ils acceptent de partager avec lui ou avec eux. Dans le fonctionnement de cette relation numérisée, il y a 80% d'humain pour 20% de technologie.
Tout le monde recommande tout le temps selon ses envies. On ne s'en aperçoit plus et depuis longtemps, mais nous avons l'habitude de recommander. Qui n'a jamais recommandé quelque chose ou quelqu'un à un(e) ami(e) ? Mon expérience m'a montré dans l'environnement personnel autant que dans celui professionnel, que la plus part d'entre nous, recommandons souvent mais pas de la même manière ni au même moment et rarement dans les mêmes lieux. Par contre, quelques soit les générations, la plus part du temps la recommandation est encore transmise verbalement ou par téléphone même si la tendance est forte à devenir un réflexe numérique. L'étude de l'histoire de la recommandation nous montre aussi que cela se transmettait auparavant beaucoup par courrier. Depuis quelques années, le phénomène d'efficacité de la recommandation numérisée est en marche et révolutionne la relation inter professionnelle dans tous les secteurs d'activités.
Et vous !! depuis quand n'avez vous pas recommandé un ami, un client, un restaurant, un magasin, un lieu... ?
Des modes de recommandation. Il y a plus d'un usage numérique de la recommandation et de nouveaux s'inventent régulièrement. Certaines entreprises ont assis leurs succès comme Ebay avec des systèmes d'appréciation à étoiles, d'autres comme Facebook utilisent des expressions simples comme "I like", d'autres comme Viadéo ou Linkedin vous proposent de les publier pour valoriser vos talents professionnels. Vous croisez aussi des entreprises qui vous demandent de laisser un avis sur un restaurant ou un voyage ou encore comme l'entreprise française JKPM dans le monde du BtoB, qui vous permet de développer plus vite votre chiffre d'affaires en demandant une recommandation auprès de clients ciblés en France, en Europe ou dans le monde. Quelques soient les organisations numériques de la recommandation, il est utile de rappeler qu'à la base de cet échange, il y a un humain qui parle à un ou d'autres humains, d'une expérience ou de la connaissance d'une information de valeur qu'ils acceptent de partager avec lui ou avec eux. Dans le fonctionnement de cette relation numérisée, il y a 80% d'humain pour 20% de technologie.
Tout le monde recommande tout le temps selon ses envies. On ne s'en aperçoit plus et depuis longtemps, mais nous avons l'habitude de recommander. Qui n'a jamais recommandé quelque chose ou quelqu'un à un(e) ami(e) ? Mon expérience m'a montré dans l'environnement personnel autant que dans celui professionnel, que la plus part d'entre nous, recommandons souvent mais pas de la même manière ni au même moment et rarement dans les mêmes lieux. Par contre, quelques soit les générations, la plus part du temps la recommandation est encore transmise verbalement ou par téléphone même si la tendance est forte à devenir un réflexe numérique. L'étude de l'histoire de la recommandation nous montre aussi que cela se transmettait auparavant beaucoup par courrier. Depuis quelques années, le phénomène d'efficacité de la recommandation numérisée est en marche et révolutionne la relation inter professionnelle dans tous les secteurs d'activités.
Et vous !! depuis quand n'avez vous pas recommandé un ami, un client, un restaurant, un magasin, un lieu... ?
mardi 22 mars 2011
Le numérique pour nous aider à comprendre que les japonais ont besoin de notre aide.
La carte animée des secousses sismiques au Japon.
690 tremblements sur 13 jours du 11 mars au 22 mars.
Nos amis japonais ont besoin de notre solidarité. Je vous invite à participer à la chaîne de solidarité des blogueurs dont l'action est de faciliter l'accès aux internautes vers les sites de dons et vers les sites d'actions bénévoles locales pour venir en aide aux populations.
Pour suivre les actions listées http://bit.ly/fu0ogV Merci de compléter en prenant soins de vérifier la véracité des informations.
Rappel de geste de sécurité sur le web. Je vous invite à bien vérifier les informations que vous recevez par email où que vous découvrez sur le web car les catastrophes attirent malheureusement aussi les arnaques. Ne faites rien sans en avoir d'abord parlé autour de vous où suivez les instructions des organismes officiels ou ceux qui ont une réputation historiquement connue comme cliquer sur la bannière de la croix rouge si vous souhaitez faire un Don.
690 tremblements sur 13 jours du 11 mars au 22 mars.
Nos amis japonais ont besoin de notre solidarité. Je vous invite à participer à la chaîne de solidarité des blogueurs dont l'action est de faciliter l'accès aux internautes vers les sites de dons et vers les sites d'actions bénévoles locales pour venir en aide aux populations.
Pour suivre les actions listées http://bit.ly/fu0ogV Merci de compléter en prenant soins de vérifier la véracité des informations.
Rappel de geste de sécurité sur le web. Je vous invite à bien vérifier les informations que vous recevez par email où que vous découvrez sur le web car les catastrophes attirent malheureusement aussi les arnaques. Ne faites rien sans en avoir d'abord parlé autour de vous où suivez les instructions des organismes officiels ou ceux qui ont une réputation historiquement connue comme cliquer sur la bannière de la croix rouge si vous souhaitez faire un Don.
lundi 21 mars 2011
Devenez acteurs (trices) de la websolidarité avec la Croix Rouge.
Sur le web vous pouvez être plus que des lecteurs, des spectateurs, des commentateurs...vous pouvez devenir des acteurs et des actrices de la solidarité. Et ce n'est pas les actions qui manquent dans une époque ou l'humain à coté de chez vous ou à l'autre bout du monde est confronté à des situations de plus en plus complexes à solutionner seul. Ensemble nous pouvons agir là où seul les bénévoles sont démunis et sans forces devant l'ampleur de la tache.
Les internautes en général et les blogueurs en particuliers peuvent contribuer à faciliter la transmission de l'information de solidarité dans votre cercles d'amis sur le web et dans vos réseaux.
Je vous propose de me rejoindre dans l'action de webbénévole de la Croix Rouge :
Cliquez pour en savoir plus sur le site de la Croix Rouge
La chaîne de solidarité des blogueurs. J'en profite pour vous rappeler de venir participer à la chaîne de solidarité des blogueurs en complétant la liste des liens des initiatives de solidarité avec les japonais. Cette action simple de regroupement des liens de solidarité facilite la recherche pour les internautes moins habitués que vous à trouver la bonne information sur le web http://bit.ly/icdGRg Vous pouvez utilisez tous les liens pour construire d'autres billets utiles dans votre communauté numérique.
Les internautes en général et les blogueurs en particuliers peuvent contribuer à faciliter la transmission de l'information de solidarité dans votre cercles d'amis sur le web et dans vos réseaux.
Je vous propose de me rejoindre dans l'action de webbénévole de la Croix Rouge :
Cliquez pour en savoir plus sur le site de la Croix Rouge
La chaîne de solidarité des blogueurs. J'en profite pour vous rappeler de venir participer à la chaîne de solidarité des blogueurs en complétant la liste des liens des initiatives de solidarité avec les japonais. Cette action simple de regroupement des liens de solidarité facilite la recherche pour les internautes moins habitués que vous à trouver la bonne information sur le web http://bit.ly/icdGRg Vous pouvez utilisez tous les liens pour construire d'autres billets utiles dans votre communauté numérique.
Outils numériques : bien les comprendre pour bien les utiliser sans être abusé
L'apparition des outils numériques et parfois l'invention d'usages découverts uniquement par les internautes, dépassent bien souvent, les fonctions développées par leurs créateurs. Cette évolution quasi exponentielle de ce phénomène planétaire en mouvement et observés dans toutes les cultures, fait naître souvent de fausses (vraies) peurs ou d'excès d'illusion qui peuvent conduire à la création d'espaces de vrais abus.
C'est la technique ou l'homme qui est coupable des dérives ? Le débat n'est pas nouveau. La technologique de plus en plus puissante est elle responsable des dérives qu'on lui reproche ?. Depuis 20 ans que je navigue au milieu des hommes dans les secteurs de l'informatique puis de l'internet, et selon mon point de vue qui n'engage que moi, je dirai que la technique est neutre. Cela dépend des hommes qui l'a crée et des usages inventés par d'autres qui l'utilisent pour leurs seules intentions ou celles exclusives de leurs communautés. Si l'humain se tourne favorablement vers d'autres humains, nous voyons apparaître des outils et des utilisations fondamentalement bienveillantes même si parfois certains s'en écartent en progressant. Comme nous ne changerons pas la nature humaine de certaines personnes ou certaines communautés, et que maintenant nous sommes reliés avec les humains des pays de la planète qui peuvent des intentions différentes, il est donc utile que chacun comprenne comment le numérique évolue et de quelle puissance dispose t-il ?. Nous verrons sans doute à l'avenir des hommes habitant aux quatre coins du monde où à coté de chez nous et dans des environnements juridiques non comparables, utiliser le web sur des objectifs d'intentions bien différentes. Le monde du numérique n'est pas un monde chaotique sans foi ni loi mais il n'est pas non plus celui des "Bisounous" sans être ni meilleur ni pire que ce que pouvons voir sur notre planète. Je vais prendre un exemple.
Un train numérique peut en cacher un autre. Nos collègues de chez Goog....viennent d'être condamnés à une amende de 100 000 Euro par la CNIL pour avoir, pendant qu'ils alimentaient d'images le programme street views, profiter pour cartographie les spots wifi disponibles dans les villes et absorbés des informations de sites non protégés. Excès de zèle d'un technicien ? Ou ette collatéral d'une technologie multi taches puissante ? Intention cachée ?....laissons les autorités des 35 pays qui ont porté plainte, mesurer la réalité.
Qu'est ce qu'un citoyen peut faire ? Bien sur protéger ses données. Mais cela suffit il ? Face à cette évolution exponentielle de la puissance numérique qui a de très bons cotés pour toutes les populations de culture, de formation ou d génération différentes, il est important, sans amplifier ni modifiés les évènements, d'être lucide et d'apprendre à maîtriser les outils puis à naviguer sur les océans du web tout en commençant par comprendre les enjeux. Pour information vous trouverez ICI, une documentation claire pour paramétrer l'application "Lattitude" qui à coté de la polémique ouvre des usages de géolocalisation que bien d'autres entreprises, petites où grandes, utilisent parfois sans le dire et qui sont très utiles pour nos applications et usages dans notre environnement professionnel et personnel.
Seul en mer où en équipe ? Avez vous déjà vu un skipper prendre la mer sans permis ni expérience ? Non bien sur. Et pourtant c'est ce que font des millions d'internautes tous les jours en France. Sous prétexte que les outils sont simples et gratuits, chacun s'aventure sur les océans du web sans avoir sur quel bateau ils sont montés ni appris à le manoeuvrer et en les utilisant avec des outils sous dimensionnés et rarement paramétrés. Et pire encore, avançant seul en mode auto formation après avoir glané des informations sans aucune vérification des sources, et très souvent insuffisamment comprises jusqu'au moment où se produit l'évènement inattendu fâcheux ou l'information incroyablement négative mais qui présente toujours sa facture négative à l'humain !!
Une piste pour utiliser le web en conscience. L'un des meilleurs chemins pour profiter au mieux des avantages du numérique en général et du web en particulier sans tomber dans les pièges : c'est la formation et ne pas rester isolé dans ses usages tout en recherchant les pratiques recommandés. L'éducation au numérique pour les jeunes au collège est une bonne piste surtout si on prend soins de vérifier que ce qui est enseigné est réellement utile et évolutif. Mais il ne faut pas oublier la formation des adultes qui souvent sont beaucoup moins initiés que leurs enfants qui sortent toujours en mode tribus bien plus sécurisé que leurs parents. Pensez aussi à sortir des clichés qui colportent que tous les jeunes utilisateurs des seuls mêmes outils numériques soit comme Obélix tombé dans la potion magique.....de la compréhension et de la maîtrise de tout ce qui peut s'inventer à l'avenir. Savoir conduire un kart dans un circuit fermé ne fait pas de vous un conducteur émérite sur les routes. Comprendre et apprendre avec les bonnes personnes restent le chemin le plus sûr pour permettre à chacun de profiter au mieux de cette technologie et de conserver sa liberté de mesurer en toute transparence, la réalité des informations et l'étendue des intentions des outils pour des usages professionnelle et personnelles. Je vous invite à vous entourer des professionnels consultants indépendants où en agence qui seront vous poser les bonnes questions et vous apprendre ce qui est nécessaire pour traverser les océans du net avec efficacité et sécurité en fonction de vos objectifs.
Dialoguons pour ne plus être seul. Je vous propose qu'ensemble nous échangions sur le sujet pour éviter de tomber dans les excès d'analyses catastrophiques ou défaitistes à propos des outils et usages numériques qui peuvent ralentir ou paralyser notre progression sur la route du changement de nos habitudes et organisations professionnelles. Bien sur nous ne tomberons pas dans une sorte de posture d'illumination par le numérique ou "tout le monde serait beau et gentil"
Un projet collaboratif. J'en profite pour lancer un appel à projet collaboratif pour organiser une base (multi langues) de liens vers les supports explicatifs des paramétrages par outil ou usage web. Est ce que vous en connaissez déjà ? Qui est partant pour ce projet ?
Ousp mille excuses, Je sais, j'ai été trop long. J'aurai pu couper mon propos en plusieurs billets. Merci d'être arrivé jusqu'ici. Et puisque vous y êtes, profitez en pour rajouter une ligne ou deux dans les commentaires. Le meilleur sortira toujours du dialogue et non du monologue même s'il y est lu part des milliers de personnes.
C'est la technique ou l'homme qui est coupable des dérives ? Le débat n'est pas nouveau. La technologique de plus en plus puissante est elle responsable des dérives qu'on lui reproche ?. Depuis 20 ans que je navigue au milieu des hommes dans les secteurs de l'informatique puis de l'internet, et selon mon point de vue qui n'engage que moi, je dirai que la technique est neutre. Cela dépend des hommes qui l'a crée et des usages inventés par d'autres qui l'utilisent pour leurs seules intentions ou celles exclusives de leurs communautés. Si l'humain se tourne favorablement vers d'autres humains, nous voyons apparaître des outils et des utilisations fondamentalement bienveillantes même si parfois certains s'en écartent en progressant. Comme nous ne changerons pas la nature humaine de certaines personnes ou certaines communautés, et que maintenant nous sommes reliés avec les humains des pays de la planète qui peuvent des intentions différentes, il est donc utile que chacun comprenne comment le numérique évolue et de quelle puissance dispose t-il ?. Nous verrons sans doute à l'avenir des hommes habitant aux quatre coins du monde où à coté de chez nous et dans des environnements juridiques non comparables, utiliser le web sur des objectifs d'intentions bien différentes. Le monde du numérique n'est pas un monde chaotique sans foi ni loi mais il n'est pas non plus celui des "Bisounous" sans être ni meilleur ni pire que ce que pouvons voir sur notre planète. Je vais prendre un exemple.
Un train numérique peut en cacher un autre. Nos collègues de chez Goog....viennent d'être condamnés à une amende de 100 000 Euro par la CNIL pour avoir, pendant qu'ils alimentaient d'images le programme street views, profiter pour cartographie les spots wifi disponibles dans les villes et absorbés des informations de sites non protégés. Excès de zèle d'un technicien ? Ou ette collatéral d'une technologie multi taches puissante ? Intention cachée ?....laissons les autorités des 35 pays qui ont porté plainte, mesurer la réalité.
Qu'est ce qu'un citoyen peut faire ? Bien sur protéger ses données. Mais cela suffit il ? Face à cette évolution exponentielle de la puissance numérique qui a de très bons cotés pour toutes les populations de culture, de formation ou d génération différentes, il est important, sans amplifier ni modifiés les évènements, d'être lucide et d'apprendre à maîtriser les outils puis à naviguer sur les océans du web tout en commençant par comprendre les enjeux. Pour information vous trouverez ICI, une documentation claire pour paramétrer l'application "Lattitude" qui à coté de la polémique ouvre des usages de géolocalisation que bien d'autres entreprises, petites où grandes, utilisent parfois sans le dire et qui sont très utiles pour nos applications et usages dans notre environnement professionnel et personnel.
Seul en mer où en équipe ? Avez vous déjà vu un skipper prendre la mer sans permis ni expérience ? Non bien sur. Et pourtant c'est ce que font des millions d'internautes tous les jours en France. Sous prétexte que les outils sont simples et gratuits, chacun s'aventure sur les océans du web sans avoir sur quel bateau ils sont montés ni appris à le manoeuvrer et en les utilisant avec des outils sous dimensionnés et rarement paramétrés. Et pire encore, avançant seul en mode auto formation après avoir glané des informations sans aucune vérification des sources, et très souvent insuffisamment comprises jusqu'au moment où se produit l'évènement inattendu fâcheux ou l'information incroyablement négative mais qui présente toujours sa facture négative à l'humain !!
Une piste pour utiliser le web en conscience. L'un des meilleurs chemins pour profiter au mieux des avantages du numérique en général et du web en particulier sans tomber dans les pièges : c'est la formation et ne pas rester isolé dans ses usages tout en recherchant les pratiques recommandés. L'éducation au numérique pour les jeunes au collège est une bonne piste surtout si on prend soins de vérifier que ce qui est enseigné est réellement utile et évolutif. Mais il ne faut pas oublier la formation des adultes qui souvent sont beaucoup moins initiés que leurs enfants qui sortent toujours en mode tribus bien plus sécurisé que leurs parents. Pensez aussi à sortir des clichés qui colportent que tous les jeunes utilisateurs des seuls mêmes outils numériques soit comme Obélix tombé dans la potion magique.....de la compréhension et de la maîtrise de tout ce qui peut s'inventer à l'avenir. Savoir conduire un kart dans un circuit fermé ne fait pas de vous un conducteur émérite sur les routes. Comprendre et apprendre avec les bonnes personnes restent le chemin le plus sûr pour permettre à chacun de profiter au mieux de cette technologie et de conserver sa liberté de mesurer en toute transparence, la réalité des informations et l'étendue des intentions des outils pour des usages professionnelle et personnelles. Je vous invite à vous entourer des professionnels consultants indépendants où en agence qui seront vous poser les bonnes questions et vous apprendre ce qui est nécessaire pour traverser les océans du net avec efficacité et sécurité en fonction de vos objectifs.
Dialoguons pour ne plus être seul. Je vous propose qu'ensemble nous échangions sur le sujet pour éviter de tomber dans les excès d'analyses catastrophiques ou défaitistes à propos des outils et usages numériques qui peuvent ralentir ou paralyser notre progression sur la route du changement de nos habitudes et organisations professionnelles. Bien sur nous ne tomberons pas dans une sorte de posture d'illumination par le numérique ou "tout le monde serait beau et gentil"
Un projet collaboratif. J'en profite pour lancer un appel à projet collaboratif pour organiser une base (multi langues) de liens vers les supports explicatifs des paramétrages par outil ou usage web. Est ce que vous en connaissez déjà ? Qui est partant pour ce projet ?
Ousp mille excuses, Je sais, j'ai été trop long. J'aurai pu couper mon propos en plusieurs billets. Merci d'être arrivé jusqu'ici. Et puisque vous y êtes, profitez en pour rajouter une ligne ou deux dans les commentaires. Le meilleur sortira toujours du dialogue et non du monologue même s'il y est lu part des milliers de personnes.
jeudi 17 mars 2011
Les livres numérisés font leurs salons du 18 au 21 mars à Paris
Pour la 4e année consécutive, le Salon du Livre présente un espace consacré à l’édition numérique et la lecture sur supports mobiles : lecteurs ebook, iPhone/smartphones, iPad et autres tablettes de lecture.
Salon du livre à la Porte de Versailles à Paris
Salon du livre à la Porte de Versailles à Paris