Dans un monde en perpétuelle évolution, certains ratios d'analyse des résultats peuvent cacher la tendance ou son invertion. Parfois même à force d'influence chacun peut s'auto persuader que sa certitude est bien celle qui est en train de se réaliser devant ses yeux. Le retour à la réalité est parfois brutal.
Mais beaucoup oublie où ne savent pas que depuis le web 2.0 l'humain a retrouvé sa liberté de parole et d'actions. Il n'est plus isolé face au Tsunami de l'information et face à la solitude de la décision. L'achat n'est même plus au centre de ses occupations. L'être humain aujourd'hui passe une partie croissante de son temps à tisser des liens avec d'autres humains. Et les réseaux sociaux l'aident beaucoup dans cette démarche individuelle. Il a maintenant le pouvoir de refuser que ces espaces deviennent des places de marchés où de publicité.
Sur la base du billet rencontré durant un atelier de veille, je vous invite à commenter. J'ai publié ici ma reponse. Quelle est la vôtre ?
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Selon mon expérience les réseaux sociaux ne sont pas des espaces de vente ni d'influence mais plutôt des lieux d'écoute, de dialogue et d'échanges entre humains qui
n'ont pas qu'une seule vie numérique, celle de consommer.
Une construction de relation durable ne peut pas se résumer à cet unique objectif. Les réseaux sociaux ne sont pas des magasins E-business. Nous avons besoin d'innovations relationnelles et n'ont pas seulement numériser nos anciennes pratiques où métiers.
Billet rédigé en mode nomade sur un écran tactile d'un smartphone Android
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