Nous sommes au centre d'une crise de confiance dans la relation aux Autres.
L'excès de la culture de l'individualité nous enferme dans l'individualisme incompatible à toutes formes performantes de relations professionnelles.
Cette attitude réduit nos capacités de compréhension des enjeux sociétaux, économiques et territoriaux en évolutions
L'individualisme nous ôte aussi l'envie de faire Ensemble, de collaborer à des projets collectifs et de co-construire de la valeur partageable. Une posture en complète opposition avec celle en rapide évolution dans le monde.
La crise de confiance nous enferme dans une croyance utopiste en nos capacités de savoir-faire sans les Autres. Posture qui amplifie notre solitude professionnelle et nous éloigne de la réorganisation de la relation humaine en mode réseau amplifié et accéléré par l'internet, le web et les réseaux sociaux numérisés. (1)
On ne peut ni voir, ni entendre, ni ressentir, ni comprendre si nous mettons de la défiance à priori sur toutes les formes de relations professionnelles, de voisinages et celles personnelles.
L'Autre n'est pas l'enfer et dans un nouveau monde qui se réorganise en mode réseau il peut même devenir un nouvel ami.
Le manque de confiance envers les autres prend parfois sa source dans le manque de confiance en soi. Une bonne piste pour commencer à comprendre où se trouve l'origine de l'attitude généralisante de défiance envers tout le monde. Si vous sentez que vous tournez en rond dans cette réflexion personnelle, je vous suggère d'utiliser les compétences des professionnelles de la relation humaine comme par exemple les coachs et les psychologues.
Mon espace commentaire est ouvert pour que vous partagiez votre point de vue et ouvrir le dialogue autour du thème de la confiance envers les Autres.
(1) Déjà 3 milliards d'humains connectés avec internet et bientôt 5 grâce au smartphone.
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