La création de valeur sur la planète augmente et accélère. Mais en même temps se concentre et créé des fractures entre les entreprises et entre les citoyens d'un même pays.
L'accélération du 21 ieme siecle, les révolutions technologiques et les nouvelles formes d'organisation du travail en mode projet et réseaux profitent plus aux multinationales qu'aux PME et aux professionnels indépendants bien que représentant la majorité économiste d'un pays.
En France les PME TPE représente plus de 99,9% des entreprises en 2012, 52% des emplois, 38% du chiffre d'affaire France, 49% de la valeur ajoutée et 43% de l'investissement (2). 243 grandes entreprises Françaises emploient à elles seules 4,5 millions de salariés, soit 30 % des effectifs.
Tout le monde connaît la fable de la fontaine : La grenouille qui voulait devenir aussi grosse de le boeuf. Les grandes entreprises doivent changer de dimension et devenir plus mondiale mais pas au détriment des autres entreprises. Toutes les entreprises doivent pouvoir trouver en France les mêmes niveaux d'accès à la croissance que les multinationales au risque de créer un phénomène d'école des dirigeants de PME vers les pays plus accueillants.
15 020 milliards $ (1) est le poids des 100 plus grosses entreprises multinationales mondiales côtés en bourse soit une croissance de 6 000 milliards qu'en 2009.
La capitalisation du Top100 en 2009 atteignait 8 492 milliards $.
Apple avec 469 milliards numéro 1 du classement pointait à la 33 ieme place. Le premier Français "Total" est 37 ieme.
Souces (1) fin mars 2014 estimé par Pwc et LeMonde 270614
(2) économie. gouv
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